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Ce fut une journée de présentation, d’exposition et de festoiement à l’École de design! Pour les participantes et participants de l’atelier mené par Alexandre de l’Agence Bruther, ce fut plutôt une matinée (et un début d’après-midi) d’explication. Les équipes ont eu à présenter leur projet en maquette à Alexandre, Sinisha et Guillaume Sasseville, qui était de passage. Voici les résultats de leurs recherches et analyses autour de la notion de bâtiment-machine.


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L’atelier du 3e s’est retrouvé vide une partie de la journée. Toutes les équipes travaillaient à l’atelier multitechnique pour réaliser le fruit de leur labeur. Matérialiser une idée abstraite à partir des collages qu’ils ont produit est une tâche complexe, mais ô combien satisfaisante! Plâtre, métal, bois et plastique, une panoplie de matériaux ont été utilisés pour mettre en œuvre l’idée du Bâtiment-machine.


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Go! C’est où en sont rendues les équipes de l’atelier de l’Agence Bruther. Après plusieurs échanges entre les équipes et Alexandre ainsi que Sinisha sur les photomontages, les équipes ont commencé à travailler sur la représentation physique de leurs découvertes. L’atelier multitechnique a été animé toute la journée. Que ce soit en acrylique, en plâtre, en grillage métallique ou encore en plastique thermoformé, les équipes tentent de matérialiser leurs pensées en une maquette abstraite. Le défi est loin d’être simple. Le nombre d’heures diminue et la pression augmente. Et Alexandre et Sinisha ne lâchent pas le morceau. Go! jusqu’à la toute fin!


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«Une image vaut mille mots» — Confucius

Dans le cas des participantes et participants de l’atelier mené par l’Agence Bruther, l’image du bâtiment sur lequel ils devaient travailler n’en valait que deux ou trois. Mais ils ont dû trouver les bons. De ces thématiques, ils ont bâti un atlas collectif en images, toujours sous la thématique générale du bâtiment machine. Suite à leur présentation, les équipes ont eu la mission de créer un photomontage représentant d’une manière abstraite les thématiques qu’ils ont traitées depuis le début de la semaine. La vidéo et les photos suivantes vous permettront de mieux comprendre.

Dès demain (ce soir pour certaines équipes), le travail en maquette débutera. L’objectif est d’interpréter une fois de plus ces thématiques. Pour les aider dans leur travail, Alexandre et Sinisha ont fait appel à Guillaume Sasseville qui est passé à l’atelier en fin de journée. Il a présenté sa méthode de travail et la pertinence du travail en mini maquette en architecture.


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Matinée de présentation dans l’atelier de l’Agence Bruther. Les équipes ont dû présenter une série d’images sur leur sujet de recherche. Et si un béatement pouvait être une machine complètement personnalisable? Sorte d’intelligence artificielle qui pourrait analyser ses usagers et se transformer en temps réel pour leur offrir l’expérience optimale? Ils ne parlent pas de programme architectural : ils vont bien au-delà. Depuis le début de la semaine, chaque équipe a eu à analyser une thématique de ladite machine. Que ce soit l’analyse de systèmes de contrôle de la lumière ou encore la notion de «théâtralité» d’espaces abstraits, tout y passe. Les équipes ont reçu un défi supplémentaire en début d’après-midi : réaliser un photomontage abstrait qui représenterait les découvertes de leurs recherches. Et ce n’est que le début! Demain, ils auront à présenter leur œuvre et à la concrétiser en maquette!


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Dans l’idée de créer un atlas, chacune des équipes s’est vu attribuer un projet architectural à analyser et à décortiquer, un architecte à comprendre. Leurs recherches les ont menés à analyser des photos et de faire ressortir des concepts et des interprétations d’éléments architecturaux. L’objectif est de sortir du programme architectural pour se concentrer sur les espaces et l’abstraction de l’architecture. Dès mardi, les équipes présenteront les résultats de leurs analyses. Ils commenceront dès lors leur travail de conception.


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Déconstruire un programme architectural pour se laisser la flexibilité de le réinterpréter en un univers abstrait. Les participantes et participants à l’atelier de l’Agence Bruther ont le challenge de faire une analyse architecturale dans l’abstrait.


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C’est avec des mots comme évolutif, potentialité spatiale, usage, malléabilité programmatique, composition et décomposition, poésie, le quotidien et l’utilité qu’Alexandre Theriot explique le travail de l’agence Bruther. Ce qu’il faut retenir, c’est que chacun des bâtiments pensés doit être en mesure d’absorber différents avenirs.

“The only revolutionary programme that can be proposed today is a total lack of programme. Nothing scares docile minds so much as building against programming.”

– Jeffrey Kipnis